Ce reportage présente en détail les différentes étapes de la restauration d’une pendule rare et magnifique, dont le mouvement est signé par Balthazard Martinot (1636-1714). Le cabinet en marqueterie, connu sous le nom de « Boulle », réalisé en écaille de tortue, laiton et ébène, est attribué à l’atelier d’André-Charles Boulle (1642-1732).
Dans la célèbre émission « Affaire conclue », Frédéric Brossy s’est attelé à la restauration d’une commode datant de l’époque régence (1700-1730), alors appelée commode tombeau pour ses formes rappelant un sarcophage antique. Si ce type de meuble est assez courant à l’époque, cette commode en particulier présente une remarquable qualité, par ses formes, sa taille, la qualité de ses bronzes et son placage intégral en bois de violette, aussi nommé «bois du Roi» par les Anglo-saxons.
En 1832, le Duc d’Orléans commande à la maison Breguet une pendule pour ses appartements parisiens. Le designer personnel du Duc se charge de concevoir le boîtier accueillant l’horloge, qui sera livrée en 1835. Cette pendule exceptionnelle détient depuis une décennie maintenant le record de l’horloge la plus chère au monde.
Entre 1778 et 1782, Ferdinand Berthoud fabrique une série de cinq chronomètres de marine. Parmi eux, on trouve le chronomètre n°30 ; une pièce d’autant plus rare qu’elle est la seule à avoir conservé son coffret d’origine. La manufacture Chopard a fait appel aux services de Brossy & Fils afin de restaurer cet objet extraordinaire.
